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Le Dr Still fonda la première école de médecine ostéopathique à Kirksville (Missouri) en 1892. Son élève William Garner Sutherland poursuivit son travail au début du siècle en appliquant les concepts émis par Andrew Taylor Still à la sphère crânienne ainsi qu’à l’unité fonctionnelle cranio-sacrée.
Cette médecine naturelle bénéfique pour la population fut reconnue officiellement aux États-Unis sous la présidence de Theodore Roosevelt qui fut lui-même traité avec succès en ostéopathie.
En 1917, l’ostéopathie prend racine en Europe par l’intermédiaire de John Martin Littlejohn qui fonda la British School of Osteopathy, première école en Angleterre. Dans ce pays, l’ostéopathie possède un statut équivalent à la médecine traditionnelle ou à la dentisterie ainsi que les règles nécessaires pour la protection du public.
En France et en Belgique, l’ostéopathie jouit également d’un statut privilégié et d’une reconnaissance gouvernementale
depuis quelques années.
Au Canada, la première école fut fondée en 1981 par Philippe Druelle ostéopathe, gradué au Collège Ostéopathique Atman en 1979. Cette première institution, le Collège d’Études Ostéopathiques de Montréal, est considérée comme une excellente référence internationale d’enseignement et de recherche en ostéopathie traditionnelle car elle regroupe tous les champs d’action de l’ostéopathie. Les élèves de ce collège utilisent une méthodologie clinique englobant les différentes méthodes thérapeutique afin de répondre aux besoins spécifiques de chaque patient.
De plus, depuis 1982, il existe une Fondation pour l’Enseignement et la Recherche en Ostéopathie qui a pour but de soigner de jeunes enfants âgés de 0 à 5 ans qui présentent des dysfonctions neuromotrices.
Principes fondamentaux
L'ostéopathe Philippe Druelle compare son travail à celui d'un horloger : « Avec les mains, nous remettons en mouvement toutes les fonctions de l'organisme pour qu'elles puissent entrer en interrelation les unes avec les autres et maintenir l'état de santé d'un individu».
Cette médecine naturelle bénéfique pour la population fut reconnue officiellement aux États-Unis sous la présidence de Theodore Roosevelt qui fut lui-même traité avec succès en ostéopathie.
En 1917, l’ostéopathie prend racine en Europe par l’intermédiaire de John Martin Littlejohn qui fonda la British School of Osteopathy, première école en Angleterre. Dans ce pays, l’ostéopathie possède un statut équivalent à la médecine traditionnelle ou à la dentisterie ainsi que les règles nécessaires pour la protection du public.
En France et en Belgique, l’ostéopathie jouit également d’un statut privilégié et d’une reconnaissance gouvernementale
depuis quelques années.
Au Canada, la première école fut fondée en 1981 par Philippe Druelle ostéopathe, gradué au Collège Ostéopathique Atman en 1979. Cette première institution, le Collège d’Études Ostéopathiques de Montréal, est considérée comme une excellente référence internationale d’enseignement et de recherche en ostéopathie traditionnelle car elle regroupe tous les champs d’action de l’ostéopathie. Les élèves de ce collège utilisent une méthodologie clinique englobant les différentes méthodes thérapeutique afin de répondre aux besoins spécifiques de chaque patient.
De plus, depuis 1982, il existe une Fondation pour l’Enseignement et la Recherche en Ostéopathie qui a pour but de soigner de jeunes enfants âgés de 0 à 5 ans qui présentent des dysfonctions neuromotrices.
Principes fondamentaux
- Le premier des quatre principes fondamentaux de l'approche stipule en effet que la structure gouverne la fonction, c'est-à-dire que les diverses fonctions corporelles seraient en étroite interdépendance avec la
structure du système musculosquelettique. - Le deuxième principe affirme que le corps est une unité fonctionnelle : il serait techniquement impossible qu'il se passe quoi que ce soit dans une partie du corps sans que les autres parties ne soient influencées. Ce qui explique que les manipulations se font parfois sur des zones éloignées du centre de la douleur - sur le diaphragme pour traiter le dos, par exemple.
L'ostéopathe Philippe Druelle compare son travail à celui d'un horloger : « Avec les mains, nous remettons en mouvement toutes les fonctions de l'organisme pour qu'elles puissent entrer en interrelation les unes avec les autres et maintenir l'état de santé d'un individu».
- Les troisième et quatrième principes concernent davantage l’aspect préventif de l’ostéopathie : le rôle de l'artère est absolu - dans un corps bien irrigué, il n'y aurait pas de congestion ni de dégénérescence cellulaire - et il y a l'autorégulation - le corps posséderait ou pourrait générer les substances et processus requis pour se soigner.