Clinique intégrative, Vie en Santé
  • Accueil
  • Pourquoi consulter?
  • Services
    • Ostéopathie
    • Accompagnatrice mieux-être - hypnose
    • Massothérapie
    • Naturopathie
    • Naturothérapie
    • Réflexologie
    • Travailleuse sociale
  • Équipe
    • Mélissa Bérubé
    • Sylvie Audet
    • Nathalie Bossé
    • Christelle Trique
    • Roxanne Vézina
    • Laurence Richard
    • Sarah Leblanc
    • Rosanne Bérubé
  • Rendez-vous
  • Contact
  • Accueil
  • Pourquoi consulter?
  • Services
    • Ostéopathie
    • Accompagnatrice mieux-être - hypnose
    • Massothérapie
    • Naturopathie
    • Naturothérapie
    • Réflexologie
    • Travailleuse sociale
  • Équipe
    • Mélissa Bérubé
    • Sylvie Audet
    • Nathalie Bossé
    • Christelle Trique
    • Roxanne Vézina
    • Laurence Richard
    • Sarah Leblanc
    • Rosanne Bérubé
  • Rendez-vous
  • Contact
Prendre un rendez-vous!


​Ostéopathie 

Origine 

C’est aux États-Unis, après 10 ans de recherche, qu’Andrew Taylor Still énonce le 22 juin 1874 les principes et applications de l’ostéopathie. Le Dr
Still, médecin et chirurgien anglais, fut le premier à traiter les patients dans leur globalité en recherchant les causes de leurs dysfonctions plutôt que de se contenter de traiter les symptômes. Décrié par ses pairs, il connut
cependant un grand succès auprès de ses patients en restaurant l’équilibre dynamique des structures et la qualité des fonctions naturelles de l’organisme.
Le Dr Still fonda la première école de médecine ostéopathique à Kirksville (Missouri) en 1892. Son élève William Garner Sutherland poursuivit son travail au début du siècle en appliquant les concepts émis par Andrew Taylor Still à la sphère crânienne ainsi qu’à l’unité fonctionnelle cranio-sacrée.

Cette médecine naturelle bénéfique pour la population fut reconnue officiellement aux États-Unis sous la présidence de Theodore Roosevelt qui fut lui-même traité avec succès en ostéopathie.

En 1917, l’ostéopathie prend racine en Europe par l’intermédiaire de John Martin Littlejohn qui fonda la British School of Osteopathy, première école en Angleterre. Dans ce pays, l’ostéopathie possède un statut équivalent à la médecine traditionnelle ou à la dentisterie ainsi que les règles nécessaires pour la protection du public.

En France et en Belgique, l’ostéopathie jouit également d’un statut privilégié et d’une reconnaissance gouvernementale
depuis quelques années.

Au Canada, la première école fut fondée en 1981 par Philippe Druelle ostéopathe, gradué au Collège Ostéopathique Atman en 1979. Cette première institution, le Collège d’Études Ostéopathiques de Montréal, est considérée comme une excellente référence internationale d’enseignement et de recherche en ostéopathie traditionnelle car elle regroupe tous les champs d’action de l’ostéopathie. Les élèves de ce collège utilisent une méthodologie clinique englobant les différentes méthodes thérapeutique afin de répondre aux besoins spécifiques de chaque patient.

De plus, depuis 1982, il existe une Fondation pour l’Enseignement et la Recherche en Ostéopathie qui a pour but de soigner de jeunes enfants âgés de 0 à 5 ans qui présentent des dysfonctions neuromotrices.


Principes fondamentaux
  • Le premier des quatre principes fondamentaux de l'approche stipule en effet que la structure gouverne la fonction, c'est-à-dire que les diverses fonctions corporelles seraient en étroite interdépendance avec la
    structure du système musculosquelettique.

  • Le deuxième principe affirme que le corps est une unité fonctionnelle : il serait techniquement impossible qu'il se passe quoi que ce soit dans une partie du corps sans que les autres parties ne soient influencées. Ce qui explique que les manipulations se font parfois sur des zones éloignées du centre de la douleur - sur le diaphragme pour traiter le dos, par  exemple.
L'ostéopathe ne s'intéresse pas simplement à un malaise, mais considère le patient comme un tout devant être évalué dans son ensemble. Il doit découvrir de façon précise l'origine des tensions et des blocages qui restreignent la mobilité des différents tissus. Les ostéopathes sont donc formés longuement pour acquérir une profonde connaissance des structures corporelles (os, articulations, organes, viscères, muscles, etc.) ainsi qu'une extrême finesse du toucher, capable de détecter des tensions cachées ou des mouvements particulièrement subtils. Donc, l'ostéopathie ne considère pas que les os, car le terme ostéopathie, avec son préfixe grec osteo signifiant à la fois «structure» et «osseux», peut donner une image trompeuse de l'approche.

L'ostéopathe Philippe Druelle compare son travail à celui d'un horloger : « Avec les mains, nous remettons en mouvement toutes les fonctions de l'organisme pour qu'elles puissent entrer en interrelation les unes avec les autres et maintenir l'état de santé d'un individu».

  • Les troisième et quatrième principes concernent davantage l’aspect préventif de l’ostéopathie : le rôle de l'artère est absolu - dans un corps bien irrigué, il n'y aurait pas de congestion ni de dégénérescence cellulaire - et il y a l'autorégulation - le corps posséderait ou pourrait générer les substances et processus requis pour se soigner.

Powered by Create your own unique website with customizable templates.